“Un manoir hanté, des chaises qui se déplacent, et un majordome qui disparaît sans laisser de trace. Sherlock Holmes sera le seul à savoir résoudre ce mystère, sachant bien sûr que derrière chaque coup fourré, Moriarty n’est pas loin! ”
Personnages principaux :
Sherlock Holmes, Monsieur Cobden, Jeffrey le majordome,
Moriarty, Mrs. Hudson la gouvernante
Groupes de personnages et chansons :
Les valets de M. Cobden : Des chaises qui se déplacent
Les marins : De vague en vague
Les irréguliers de Baker Street : Dans les rues de Londres
Les brigands et Moriarty: Dépouiller et piller
Les neveux d’Holmes : Bumble bee
Tous : Illusions, sortilèges
Les dialogues sont à se répartir entre les acteurs suivant leur nombre
Sherlock Holmes et le manoir Cobden
Comédie musicale pour enfants
6 scènes, 6 Chansons avec accompagnement piano
Nous étudions toute demande d’orchestration pour une formation plus étoffée
Durée : 40 minutes
Productions : Ecole St Pothin Ozanam – Lyon (2011) / Conservatoire de Meyzieu (2012) / Ecole bouge et chante (2017)
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Extrait (chanté par les élèves de bouge et chante en Juin 2017)
Les valets du manoir chantent “des chaises qui se déplacent”
Des chaises qui se déplacent
Des portes qui s’ouvrent « d’un coup ! »
Des vitres qui se cassent
Des frissons dans le cou
Une poupée qui marche à l’envers, qui fait des grands yeux
Et les peluches c’est un mystère, bougent un jour sur deux
La cheminée nous joue des tours on doit sonner l’alerte
Quand tout à coup le feu s’allume et crache des flammes vertes
Ce manoir devient vivant ou bien il est hanté
Des phénomènes inquiétants des ombres dans l’escalier
Qui a peur des choses bizarres et de ces étrangetés
Sorcellerie ou magie noire on ne l’saura jamais!
Les marins chantent “De vague en vague”
De vague en vague
de récif en récif, de delta en delta, de pays en pays
d’effort en effort
On navigue
De mer en mer
de saison en saison de tempête en naufrage de bagarre en sauvetage
D’étoile en étoile
On navigue
A chaque voyage on ne sait pas si on r’viendra
Tous ceux qu’on aime on les voit pas pendant des mois
Avant d’partir on les prend une fois dans nos bras
On dit aur’voir et on s’retourne pas
Et quand on est en mer
On est tout seul mais à plusieurs
On est si loin d’la terre
Du vent des vagues heure après
Heure le vent nous rend saouls
Quand toute la mer est contre nous
Et le soleil qui donne des coups
Y’en a qui sont devenus fou
(…)